Comment apprendre le copywriting en 2025 : ce qu’il faut savoir à l’ère de l’IA

25 April 2025
Le copywriting, c’est l’art d’écrire pour persuader et faire agir. Il s’applique aux emails, pages de vente, pubs ou contenus vidéos, en ligne comme hors ligne.

Le copywriting, c’est l’art d’écrire pour faire agir. Pas seulement sur une page de vente. Pas uniquement dans un email. Mais partout où l’on cherche à capter l’attention, à structurer une pensée, et à déclencher une décision.

À mes yeux, c’est bien plus qu’un simple “style d’écriture persuasif”.

C’est une compétence stratégique qui consiste à délivrer le bon message, à la bonne personne, au bon moment, avec une intention claire derrière chaque mot.

Et c’est ce qui rend ce métier aussi passionnant… et exigeant.

Apprendre le copywriting, ce n’est pas seulement mémoriser quelques formules magiques comme AIDA ou PAS. C’est apprendre à penser en entonnoir, à entrer dans la tête d’un prospect, à comprendre un marché, à faire le lien entre un besoin et une promesse.

C’est aussi un métier de performance :

Vos textes n’ont pas vocation à être “beaux”.

Ils doivent vendre, convertir, informer, influencer. Bref, avoir un impact concret sur un business.

Et ce n’est pas un hasard si les meilleurs copywriters peuvent facturer très cher.

Leur plume (ou leur clavier) est directement relié à la croissance d’une entreprise.

Alors si vous êtes ici, c’est probablement parce que vous :

  • vous intéressez sérieusement au copywriting,
  • vous vous demandez comment l’apprendre concrètement, en évitant de perdre du temps,
  • et peut-être surtout : si ça vaut encore le coup en 2025, à l’heure où l’intelligence artificielle peut écrire des textes en quelques secondes.
Une conférence que j'animais déjà en 2018

Je pratique le copywriting depuis 2017.

J’ai travaillé pour des dizaines de projets, de secteurs, de formats différents. Et dans cet article, je vais vous partager une vision complète et actuelle du métier, ce qu’il faut savoir avant de vous lancer, comment éviter les erreurs classiques, et comment apprendre le copywriting efficacement en 2025 — même si vous partez de zéro.

Pourquoi apprendre le copywriting aujourd’hui est une compétence à haut levier

Le copywriting est souvent confondu, à tort, avec la simple rédaction web.

Mais écrire un article de blog informatif, ce n’est pas la même chose qu’écrire un texte qui fait passer quelqu’un à l’action.

Le copywriting, c’est un mélange subtil entre la psychologie, la narration, et la stratégie de conversion. C’est la capacité à formuler les bons mots pour toucher la bonne personne, au bon moment, avec le bon message.

Et surtout : c’est une compétence à très haute valeur ajoutée.

Pourquoi ? Parce qu’elle s’applique partout.

Peu importe que vous deveniez copywriter à temps plein, ou que vous soyez marketeur, créateur de contenu, formateur ou entrepreneur.

Certaines personnes choisissent de faire du copywriting leur cœur de métier.

Elles passent leurs journées à écrire des pages de vente, des séquences d’emails, ou des scripts de VSL. Leur job, c’est de transformer des inconnus en clients.

Mais ce n’est pas une obligation.

Personnellement, j’utilise le copywriting comme une compétence transversale.

Je m’en sers pour écrire des scripts de vidéos, structurer des contenus qui éduquent un prospect tout en le guidant vers l’action, rédiger des pubs, des séquences email, des contenus de conférence, des landing pages…

Je ne suis pas “juste” copywriter.

Mais cette compétence influence quasiment tout ce que je fais.

Parce que c’est ça, la vraie puissance du copywriting :

  • Capter l’attention
  • Faire comprendre des idées complexes avec clarté
  • Donner envie de passer à l’étape suivante

Et ça change tout.

Un bon texte, un bon script, un bon email… peut littéralement multiplier les résultats d’un business. Là où un contenu lambda stagne, un bon copy peut tripler un taux de clic, doubler un taux de conversion, ou faire exploser les ventes.

C’est pour ça que je parle de compétence à haut levier.

Apprendre le copywriting, c’est mettre un accélérateur sur tout le reste : votre marketing, votre vente, votre contenu, votre carrière.

Et même si vous ne devenez pas copywriter “de métier”, ce savoir-faire peut transformer vos résultats dans n’importe quel poste en marketing, en vente, ou dans votre propre entreprise.

C’est la compétence qui fait souvent la différence entre une idée qui reste au point mort… et une offre qui décolle.

Les 3 notions que je donnerais à un débutant pour apprendre le copywriting (et éviter de tourner en rond)

Quand on démarre dans le copywriting, on peut très vite s’égarer : entre les frameworks, les formules magiques, les livres techniques et les vidéos contradictoires, difficile de savoir par où commencer.

Si je devais transmettre seulement 3 notions à quelqu’un qui débute, ce seraient celles-ci. Pas parce qu’elles sont à la mode, mais parce qu’elles permettent tout de suite de mieux écrire. Et surtout : de mieux vendre.

1. Fonction – Bénéfice – Preuve : la trinité du texte qui convertit

C’est l’une des notions les plus simples à comprendre… et l’une des plus puissantes à appliquer.

Quand vous écrivez un texte de vente, posez-vous trois questions très simples :

  • Qu’est-ce que c’est ? (Fonction)
  • Pourquoi c’est utile pour le client ? (Bénéfice)
  • Pourquoi je devrais vous croire ? (Preuve)

Un bon copywriter ne se contente jamais de dire ce qu’il vend. Il traduit une fonction en bénéfice, puis la soutient avec une preuve.

Exemples concrets :

🛒 E-commerce — Poêle anti-adhésive

  • Fonction : Revêtement anti-adhésif en céramique
  • Bénéfice : Rien n’accroche, même sans matière grasse
  • Preuve : Certifiée sans PFOA, testée par 50 000 clients

💻 SaaS — Outil de prospection par email

  • Fonction : Système d’envoi intelligent avec segmentation automatique
  • Bénéfice : Taux d’ouverture + délivrabilité au top, même avec des bases froides
  • Preuve : “+28% de réponses vs. mon ancien outil” – Nicolas, SDR chez [Nom Startup]

🎓 Formation — Apprendre le SEO avec l’IA

  • Fonction : Programme en 5 modules avec prompts IA pré-écrits
  • Bénéfice : Vous créez des contenus qui rankent sans être expert SEO
  • Preuve : 4 000+ étudiants formés, taux de satisfaction 98%

👉 Ce trio est un véritable quick win.

C’est simple à apprendre, facile à appliquer, et pourtant très peu de gens le font bien.

Si vous vous entraînez à repérer puis reformuler chaque élément dans vos textes, vous allez immédiatement rendre vos messages plus clairs, plus convaincants et plus performants. C’est une des meilleures bases pour progresser vite (et de voir si le copywriting, ça vous plait ! 😄).

2. La Grande Idée : sans elle, même un bon texte reste fade

On parle souvent de techniques, de structures, de mots puissants… mais rien de tout ça ne remplace une Grande Idée.

C’est le cœur battant d’un bon texte.

La Grande Idée, c’est ce que votre prospect n’a jamais entendu formulé de cette façon, mais qui résonne immédiatement comme une évidence.

C’est un angle fort, une promesse nouvelle, une perspective inattendue. Et souvent, c’est ce qui sépare un texte qui passe inaperçu… d’un texte qui explose les compteurs.

Mais pour formuler une Grande Idée, il faut connaître son client idéal sur le bout des doigts.

C’est là que beaucoup de débutants se trompent : ils passent 90 % de leur temps à écrire, alors que le copywriter passe 70 % de son temps à chercher, creuser, comprendre.

Comprendre ce que pense le prospect. Ce qu’il croit. Ce qu’il redoute. Ce qu’il a déjà essayé.

Et surtout : ce à quoi il n’a pas encore été exposé.

Parce que la nouveauté, c’est l’un des sentiments les plus puissants en persuasion.

Elle crée de la curiosité, de l’intérêt, du désir. Et ça, aucune structure toute faite ne peut le remplacer.

Un copywriter moyen avec une Grande Idée peut faire un carton.

Un copywriter très technique mais sans angle fort, lui, fera un texte propre… mais oublié.

👉 Commencez toujours par vous demander : qu’est-ce que je peux dire ici que personne d’autre ne dit ?

C’est souvent là que naît la vraie différence.

3. L’art de capter l’attention : sans ça, personne ne lira votre message

Même avec la meilleure Grande Idée du monde, si personne ne s’arrête pour lire, ça ne sert à rien.

En 2025, l’attention est la ressource la plus rare.

On scrolle, on zappe, on est bombardé de messages en permanence. La vraie compétition, ce n’est pas contre vos concurrents… c’est contre le feed Instagram, une notif WhatsApp, ou une vidéo YouTube qui démarre à 120 bpm.

C’est pourquoi le premier réflexe d’un bon copywriter, c’est de capter l’attention.

Par un titre. Un hook. Une question. Une image mentale. Une rupture de rythme.

Ce n’est pas un “bonus” dans le texte. C’est l’entrée. S’il est fermé, personne ne franchira le seuil.

Et pour progresser là-dessus, il n’y a pas de secret : il faut observer, collectionner, décortiquer.

Les copywriters des années 1900 avaient ce qu’ils appelaient un Swipe File : une boîte où ils glissaient toutes les pubs, accroches et textes de vente qui les avaient marqués.

À chaque nouveau projet, ils piochaient dedans pour s’inspirer de ce qui avait déjà fait ses preuves.

Vous pouvez faire la même chose aujourd’hui — version digitale.

Quand un email vous donne envie de cliquer, quand un post LinkedIn vous arrête, quand une vidéo YouTube vous attire… sauvegardez-le. Faites une capture d’écran du titre, du visuel, du début du texte. Rangez-le dans un dossier. Ajoutez une note rapide : “Pourquoi ça m’a accroché ?”

Au bout de quelques semaines, vous aurez une boîte à idées personnelle ultra puissante.

Et petit à petit, vous saurez non seulement repérer ce qui marche… mais surtout, le reproduire à votre sauce.

👉 Dans un monde saturé, ce n’est plus le contenu le plus intelligent qui gagne.

C’est celui qui sait capter l’attention et la maintenir. Le copywriting commence là.

Si vous voulez découvrir ces mécanismes en action, voici une vidéo qui décortique une excellente page de vente :

En résumé : 3 fondations simples, mais puissantes

Évidemment, ces trois notions ne feront pas de vous un copywriter incroyable du jour au lendemain.

Le copywriting, comme toute compétence de haut niveau, demande du temps, de la pratique, des tests, des échecs et beaucoup d’itérations.

Mais si vous ne deviez travailler que trois choses au départ, ce serait celles-là.

Elles sont simples à comprendre, applicables tout de suite, et ont un effet immédiat sur la qualité de vos textes, vos contenus, vos prises de parole.

C’est d’ailleurs celles que j’utilise le plus au quotidien, tous supports confondus.

Et une fois que vous commencez à maîtriser ça, vous avez deux grands avantages :

  1. Vous pouvez déjà obtenir des résultats concrets.
  2. Vous améliorez vos messages, vos emails, vos pages, vos scripts — sans avoir investi des milliers d’euros ni passé 6 mois à tout étudier.
  3. Vous saurez rapidement si le copywriting est fait pour vous.
  4. Est-ce que vous aimez réfléchir comme ça ? Observer, formuler, chercher le bon angle ?
  5. Si la réponse est oui, alors là, oui, ça vaut le coup d’investir dans une formation plus poussée et de vous professionnaliser.

Mais inutile de brûler les étapes.

Commencez par ces trois piliers, appliquez-les sérieusement… et observez déjà la différence.

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L’évolution du copywriting à l’ère de l’IA : ce qui change vraiment

En apparence, le métier de copywriter fait partie des plus “menacés” par l’arrivée massive de l’intelligence artificielle.

Après tout, l’IA écrit des textes. Et le copywriting, c’est… écrire des textes, non ?

Mais comme souvent, il faut faire attention aux raccourcis.

Entre les prédictions catastrophistes et les discours utopiques sur “la fin du travail”, beaucoup d’analyses oublient un truc : la réalité du terrain.

Moi, je vois l’IA comme une machine de production géniale, à condition de savoir s’en servir.

Et en 2025, ce que je constate, c’est que le métier évolue profondément — mais il ne disparaît pas. Il devient juste plus polarisé.

Voici le vrai changement selon moi :

Faire un peu de copywriting est devenu accessible à presque tout le monde.

Avec les bons prompts et un minimum de curiosité, on peut générer un texte “correct” en 3 minutes. Pas révolutionnaire, mais largement suffisant pour faire le job dans 80 % des cas de base.

Un excellent copywriter, lui, devient encore plus puissant.

Il va utiliser l’IA pour accélérer sa production, gagner du temps sur les reformulations ou les tests de variations… Mais il garde la main sur ce qui compte : le fond, la stratégie, l’angle, le timing.

Et entre les deux, il y a une zone floue.

Une sorte de no man’s land dans lequel tombent tous ceux qui sont “en apprentissage” ou “juste corrects” :

  • Trop peu expérimentés pour challenger l’IA…
  • Mais plus assez différenciants pour justifier de faire tout eux-mêmes.

Et c’est là que le métier devient plus exigeant mentalement.

Parce qu’au lieu de se reposer sur la machine, il faut au contraire :

  • continuer d’apprendre,
  • affûter son sens du jugement,
  • comprendre le marketing en profondeur,
  • et savoir piloter un texte, même quand il est généré par une IA.

En clair :

👉 Devenir bon en copywriting aujourd’hui demande plus d’effort qu’avant, parce que l'IA semble "tout rendre facile" et peut nous rendre moins assidu à progresser soi-même.

Mais c’est aussi ce qui fait que ceux qui maîtrisent vraiment cette compétence prennent une avance considérable.

L’IA vous pousse à être meilleur. Pas pour faire plus… mais pour penser plus juste.

Est-il possible d’apprendre le copywriting seul ?

C’est une question qu’on me pose souvent. Et la réponse courte, c’est : oui, c’est possible.

Mais c’est aussi beaucoup plus difficile que ce que beaucoup imaginent.

Le web regorge de contenus gratuits, de vidéos, de newsletters, de threads Twitter. Et si vous êtes motivé, vous pouvez apprendre énormément de choses.

Mais il manque souvent trois éléments clés :

  1. Un vrai parcours structuré
  2. Un feedback sur votre travail
  3. Un terrain d’application réel

Et c’est justement là que les formations sérieuses font la différence.

Apprendre en solo, c’est possible… mais peu de gens vont au bout

Quand vous êtes seul, le vrai problème ce n’est pas de comprendre le copywriting.

C’est de savoir par où commencer, dans quel ordre progresser, et surtout… savoir si ce que vous faites est bon.

Le copywriting, ce n’est pas un métier “théorique”.

Ce qui compte, ce sont les résultats : l’engagement si vous écrivez du contenu, les ventes ou les prises de rendez-vous si vous travaillez sur un tunnel ou une séquence d’emails.

Et ça, on ne peut pas vraiment l’apprendre sans tester en conditions réelles.

Une formation vous donne un cadre et de la crédibilité

Quand vous suivez une bonne formation (comme celle de Stan Leloup et l’École des Copywriters, par exemple), vous gagnez deux choses :

  • Un cadre clair pour progresser, pas à pas
  • Un label reconnu, qui rassure les clients ou employeurs potentiels

Est-ce que ça suffit ? Non.

Mais c’est un vrai plus au moment où vous devez décrocher vos premières missions, surtout si vous partez de zéro.

Le vrai défi : se constituer un portfolio

Quand on démarre, le plus dur, c’est d’obtenir ses premières références.

Pas juste pour “faire joli” sur LinkedIn, mais pour prendre confiance, voir ce qui fonctionne, et avoir des preuves concrètes à montrer.

Si vous avez déjà des clients (en freelance ou dans votre boîte), vous êtes dans une super position pour vous former au copywriting tout en testant immédiatement ce que vous apprenez.

C’est la meilleure manière d’ancrer la compétence.

Mon retour d’expérience

J’exerce le copywriting depuis 2017, et pourtant, je continue encore à me former.

J’ai suivi plusieurs approches, plusieurs formateurs, plusieurs visions.

Et c’est ce qui m’a permis d’avoir une lecture plus complète du métier.

Je recommande de commencer avec une base solide comme l’École des Copywriters, puis de compléter avec des formations plus ciblées, en fonction de vos objectifs (pub, storytelling, page de vente, etc.).

Mais si vous décidez de vous former entièrement seul, assurez-vous d’une chose :

👉 avoir un terrain d’expérimentation rapide ou un mentor qui peut vous challenger.

Sans ça, le risque c’est de stagner dans la théorie et de perdre en motivation.

Les meilleures ressources pour apprendre (et progresser pour de vrai)

Il y a mille façons d’apprendre le copywriting aujourd’hui.

Mais si je devais vous recommander quelques ressources vraiment utiles, voici ce que je retiens.

Des livres, des exercices concrets, et un peu d’humain autour de vous — c’est largement suffisant pour progresser sérieusement.

📚 Trois livres pour vous mettre dans le bain

The Boron Letters – Gary Halbert

C’est LA référence culte dans le monde du copywriting. Ce livre est une pépite.

Il compile les lettres que Gary Halbert, l’un des plus grands copywriters de tous les temps, a écrites à son fils pour lui transmettre les fondamentaux du copywriting, du marketing, et de la vente directe.

C’est simple, brut, parfois un peu old school, mais toujours pertinent.

Ce que j’aime particulièrement : la façon dont il connecte l’écriture à la psychologie, et l’importance qu’il donne à la structure des textes.

Breakthrough Advertising – Eugene Schwartz

C’est probablement le livre le plus profond que vous pouvez lire sur le copywriting.

Il ne parle pas de titres ou de phrases accrocheuses… mais de la façon dont un marché évolue, et comment vous devez adapter votre message en fonction du niveau de conscience du client.

C’est dense, parfois technique, mais c’est un vrai manuel stratégique.

Si vous comprenez ce livre, vous ne verrez plus jamais une page de vente ou une publicité de la même façon.

Influence et Manipulation – Robert Cialdini

Un classique indispensable.

Il pose les grands principes psychologiques qui font qu’on dit “oui” : preuve sociale, autorité, réciprocité, rareté, etc.

C’est limpide, hyper documenté, et directement applicable au copywriting.

Fun fact : Cialdini a d’abord écrit ce livre pour aider les gens à se défendre contre la manipulation… mais ce sont surtout les marketeurs qui s’en sont emparés pour vendre plus.

Et ça fonctionne toujours aussi bien aujourd’hui.

Clairement, si vous voulez comprendre pourquoi les gens prennent certaines décisions, ce livre est une base solide.

🇫🇷 Côté francophone : quelques bonnes références

  • Stan Leloup (Marketing Mania) : blog, podcast, vidéos… du solide.
  • Sélim Niederhoffer : un ancien copywriter de l’ombre devenu formateur. Très bon vulgarisateur du métier.

Et si vous voulez un aperçu plus global sur les compétences à développer quand on veut devenir un marketer fullstack, j’ai écrit un article dédié aux 7 livres à lire absolument.

👉 Cliquez ici pour le lire

✍️ Un exercice simple (et redoutablement efficace)

Si vous ne devez faire qu’un seul exercice pour progresser :

Recopier à la main des pages de vente qui ont réellement performé.

Oui, à la main.

C’est un exercice un peu bourrin, mais qui fonctionne très bien pour s’imprégner des mécaniques de persuasion.

Vous commencez à repérer les transitions, les arguments, le rythme… C’est un entraînement musculaire pour votre cerveau.

⚠️ Petit conseil : ne recopiez pas n’importe quelle page.

Assurez-vous que c’est une vraie page qui a cartonné (et pas juste une belle mise en page).

🤝 S’entourer pour progresser

Enfin, si vous voulez éviter de tourner en rond tout seul, je vous recommande de rejoindre une communauté.

Par exemple, CopyHouse est une communauté payante mais très active, avec des feedbacks réguliers, des copywriters de tous niveaux, et une vraie culture du test.

C’est un bon moyen de vous challenger, de rester motivé, et de progresser plus vite.

Un plan d’apprentissage concret en 4 étapes

Apprendre le copywriting, que vous en fassiez votre métier ou non, ne pourra que vous servir.

C’est une compétence que vous allez utiliser toute votre vie — dans vos emails, vos contenus, vos présentations, vos offres, vos posts, vos pubs…

Mais par où commencer, concrètement ?

Voici 4 étapes simples et efficaces pour progresser rapidement, même sans formation coûteuse ni diplôme en marketing :

1. Observer : devenez curieux de ce qui marche

Passez du temps à regarder des publicités, à décomposer des pages de vente, à analyser des vidéos YouTube qui cartonnent, ou à lire des newsletters bien construites.

Demandez-vous à chaque fois :

  • Pourquoi j’ai cliqué ?
  • Pourquoi je suis resté jusqu’au bout ?
  • Qu’est-ce qui m’a donné envie d’agir ?

L’observation est une mine d’or. Et quand vous commencez à voir ce que les autres ne remarquent pas, vous progressez déjà.

2. Imiter : entraînez votre cerveau à écrire “juste”

Recopiez des pages de vente, des emails, des publicités. À la main.

Oui, avec un vrai stylo, sur du papier.

C’est old school, mais c’est redoutable pour intégrer les mécaniques de persuasion dans votre cerveau.

Inspirez-vous aussi de structures existantes : AIDA, PASTOR, 4P… Testez-les avec vos mots.

Cet exercice est parfait si vous débutez avec un budget limité ou peu de temps : vous apprenez vite, sans risque.

3. Créer : mettez les mains dans le cambouis

À un moment, il faut se lancer.

Écrivez des contenus sur LinkedIn. Créez des mini-pages de vente.

Testez des formats sur Instagram, Twitter, ou ailleurs. Trouvez un projet (même fictif) et entraînez-vous à le vendre avec les mots.

Et si vous pouvez travailler sur des projets qui ont déjà un peu d’audience, c’est encore mieux.

Commencez à constituer votre portfolio, même petit. Ce sont vos premiers pas concrets.

4. Améliorer : prenez du feedback et mesurez vos résultats

Le copywriting n’est pas une discipline solitaire.

Il faut confronter vos textes au réel : lecteurs, clients, prospects… ou d’autres copywriters.

Cherchez du feedback.

Faites des split-tests si vous gérez de la pub ou une landing page.

Et surtout, ne sous-estimez jamais l’importance d’un regard extérieur : même moi, après des années de pratique, je paye parfois pour que d’autres copywriters relisent mes textes.

On a rarement assez de recul sur son propre boulot.

Le conseil que j’aurais aimé recevoir plus tôt

Vous pouvez écrire le meilleur texte du monde… s’il n’est vu par personne, il ne vous apprendra rien.

Si vous voulez progresser très vite en copywriting, cherchez un terrain où vos textes sont lus, testés, exposés à du trafic réel.

Un client en pub Facebook. Un projet avec une newsletter. Un produit qui tourne déjà.

De mon côté, j’ai énormément progressé le jour où j’ai dû lancer 3 à 4 campagnes publicitaires par semaine, avec un gros volume de trafic… et un paiement à la performance.

C’est simple : j’ai appris plus en 1 mois à ce rythme qu’en 6 ans d’expérimentations “à petit feu”.

C’est intense. Parfois inconfortable. Mais c’est là qu’on devient bon.

👉 Si vous avez l’opportunité de vous jeter dans le grand bain, faites-le.

C’est comme ça qu’on développe de vrais réflexes de copywriter.

Conclusion : le copywriting n’est pas mort, il mue

Il ne faut pas avoir peur de l’intelligence artificielle.

Au contraire : c’est une époque incroyable pour apprendre, créer, tester… et progresser plus vite que jamais.

L’IA ne tue pas le copywriting. Elle le transforme, et elle augmente ceux qui savent s’en servir intelligemment.

Et la bonne nouvelle, c’est que la demande n’a jamais été aussi forte.

J’ai vu la bascule en direct :

Avant 2020, le copywriting restait un métier de niche.

Une compétence surtout connue dans le cercle des infopreneurs, des formateurs en ligne, des freelances du web.

Mais après le Covid, tout le monde s’est mis à vendre en ligne.

Et là, le besoin est devenu massif. Le marché s’est structuré. Les entreprises ont compris ce que c’était qu’un bon copywriter. Aujourd’hui, c’est un métier connu, recherché, reconnu.

Et ça change tout.

Un marché mûr, c’est un marché qui recrute.

Et un copywriter qui maîtrise à la fois les fondamentaux et l’IA devient un profil ultra précieux.

👉 Que vous vouliez :

  • booster vos compétences marketing,
  • ajouter une vraie corde à votre arc,
  • ou carrément vous reconvertir dans un métier à fort levier,

Plonger dans le copywriting ne peut que vous servir.

C’est un investissement dans votre manière de communiquer, de vendre, de convaincre — bref, dans votre capacité à faire passer vos idées et à avoir de l’impact.

Et si vous voulez aller plus loin, on a rassemblé d’autres ressources concrètes pour progresser en copywriting.

👉 Cliquez ici pour les découvrir

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🎓 Masterclass Copywriting IA – Ce que j’utilise au quotidien pour gagner ma vie et créer des contenus qui vendent beaucoup

Je ne vais pas vous vendre un énième cours théorique sur le copywriting. Si vous aimez mon approche "droit au but", vous allez apprécier ceci.

Cette Masterclass, c’est exactement ce que j’utilise tous les jours avec mes clients pour écrire :

→ des contenus qui attirent,

→ des messages qui vendent,

→ des pages, des pubs, des emails qui performent.

Depuis 2017, je vis du copywriting.

Et aujourd’hui, j'ai intégré l’intelligence artificielle pour aller 100 fois plus vite, produire mieux, et gagner du temps sans perdre en impact.

Je vous montre dans cette Masterclass exactement comment je fais pour gagner ma vie — et comment je me continue de me former quand même pour progresser, même si l'IA écrit pour moi.

👉 Si vous voulez apprendre à créer des textes qui font vraiment bouger les lignes,

👉 et que vous voulez le faire sans passer 6 mois à digérer des théories,

alors cette formation est faite pour vous.

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